Comment faire baisser la tension naturellement ?

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?
?Mégane06??
23 déc. 2020

Coucou les filles voilà mon post césarienne : Alors voilà cetais une césarienne programme car j'ai un utérus cicatricelle et bien sur un basin trop et trop et en vu de ma fille sont poids on avait peur des conséquences mais finalement on a bien fait ? Alors voilà la vielle de la cesa j'ai du prendre une douche a la betadine et ne plus manger a partir de minuit j'étais tellement stress vous savez pas comment j'en vomisse tellement j'étais stresser du coup j'essaie de dormir un peut , le réveiller sonne sayer c'est partir on rassemble toute les affaires bon faut savoir que on ramener que les affaires a bébé et le reste dans la voiture, du coup avec chéri on a rien dans la salle d'attente de la salle de naissance on et arriver a 7h30 ? alors que j'avais rdv a 8h , du coup on attend sachant que le service fait des réunions tout les lundi matin , ensuite je suis pris en charge pas un sage femme , qui me fait quelle que examin, urine , poids et monitoring avant de me prépare pour la salle de naissance, j'ai une autre sage femme qui viens avec mon dossier pour m'expliquer les choses les risque si j'ai des questions elle me pose le cathéter prise de sang et voilà je suis en salle de reveiller prete pour la césarienne maintenant on attend plus que l'anesthésiste , sayer 11h je suis au bloc , cherie a pus etre avec moi mais pas dans le bloc du coup bisous a cherie et hop au bloc , on me fait la pique dans le dos mon dieux mais quelle sentation horrible jai eu franchement je pensait pas que ca aller me faire mal au temps mais bon ensuite j'ai pu avoir un jolie malaise du a l'anesthésiste j'ai eu une grosse baisse de tension énorme mais tout a fait normale avec l'anesthésiste qui mon fait donc sayer je remonte tout vas pour le mieux et la il commence il me mais le draps blanc une équipe mais tellement a l'écoute et tellement adorable on me mais le chauffage parce que il fessait très très froid, et voilà 11h45 mon fils etais même pas dehors qui a pousser sont premier cris je pleure comme une madeleine, du coup j'aurais fait des varice dans mon utérus, tout cest très bien passer j'ai pas eu de douleur apart le soir mais ca aller et faut savoir que maintenant il faut des césarienne precose donc en gros la je suis pas avec la prefusion ect tout pour que ca soit le plus naturelle possible et que je m'occupe vite de bebe bon le lever a etais compliquer mais le mieux c'est que on peut faire peaux à peaux avec bébé et jai pus donner la tête de bienvenue voilà la je me remais doucement aujourd'hui au niveau douleur cest plus musculaire que ma cicatrice de césarienne. J'espère vous avoir éclairé un peut si jamais ya des filles qui on des questions ou quoi que soit hésiter pas .?

14 commentaires
❤? Maman ange ?❤
Merci pour ton retour . Tu est rester longtemps en salle de réveil
23 déc. 2020

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?
?Mégane06??
oui oui car beaucoup de monde a la maternité donc le temps que il face ma chambre jy suis rester bien 5h
23 déc. 2020

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❤? Maman ange ?❤
ah ouais quant même
23 déc. 2020

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E
Eva
6 oct. 2020

Coucou a tous voilà après rdv chez le doc hier on c'est aperçu que j'avais 14,8 de tension avez vous des choses pour me calmer pour faire baisser la tension naturellement car sa m'inquiète beaucoup !!

10 commentaires
P
Pauline
Pour ma grossesse, j’avais investi dans un tensiomètre pour pouvoir suivre chez moi mais autrement repos au maximum avec arrêt des activités stressantes et traitement dans le pire des cas... courage
6 oct. 2020

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C
Cecile
Moi 18 il m’a dit repos total
6 oct. 2020

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E
Eva
Ok merci a vous les filles je vais me reposer au maximum et voir comment sa évolue du coup merci
6 oct. 2020

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A
Audrey
13 juil. 2020

Bonjour les moms Besoin de parler de mon vécu et d avoir des témoignages si certaines ont vécu la même chose ou quelque chose de similaire J ai accouché dans la nuit du 10 et 11 juin... J'ai toujours eu une peur bleue de l accouchement, d ailleurs j ai même fait de la sophrologie pour m apaiser tellement j en avais peur de l accouchement. Les sages femmes m ont demande si je voulais la péridurale ou si je voulais accoucher naturellement, je leur ai répondu mais si je pouvais accoucher sous anesthésie générale je le ferai car j' ai trop peur j ai trop peur... J ai eu ma fin de grossesse pendant le confinement et l idée d accoucher Sans avoir pris des cours me faisait encore peur et finalement j ai trouve une sage femme libérale qui a pu donner les cours en visio et j ai pu prendre des cours de sophrologie en plus... Alors je n etais pas totalement rassurée mais ça allait... Puis les jours avançaient, le terme se rapprochait et ma peur refaisait surface... Et le mercredi 10 juin je fissurai dans mon sommeil et le travail commencait du coup avec mon conjoint on se met en route pour la maternité... La sage femme me fait passer le test en effet c était bien là poche des eaux... Super!!!! Elle nous installe en chambre car je suis dilatée a 2, du coup je fais du ballon et la je rompt complétement la poche et du coup les contractions ne sont plus les memes, la douleur est bien présente ? Malheureusement je ne suis toujours pas dilatée comme il faut alors je vais sous la douche assise sur le ballon et mon conjoint me passe le jet d eau chaude un peu partout pour me soulager ... Allez... 2h après je passe a 4 youpiii je vais pouvoir avoir la péridurale... Je change d endroit et décide de me mener en salle d accouchement mais impossible pour moi de marcher du coup on me déplace avec le lit sur lequel j étais... Les contractions se font de plus en plus sentir je réclame réellement la péridurale alors que je ne suis pas encore en salle d accouchement... Arrivé en salle d accouchement la sage femme en charge de me faire accoucher me fait d embler comprendre que pour que j ai la péridurale ca risque d être compliqué car une femme dans une salle d accouchement a des complications du coup l anesthésiste est avec elle, mais, que celui ci après doit partir dans un autre service en urgence et qu une fois cette urgence la finie il viendrait me poser la péridurale... Autant vous dire que mon monde s est effondré je commence a pleurer de panique car ma plus grande peur se confirme ... Accoucher Sans péridurale... Et pour rien arranger à ma situation je suis passé de 4 à 8 en moins d une heure et les contractions me faisaient mal, en bas je sentais qlch poussé c était horrible... On me demandait de ne pas pousser mais c était impossible... J hurlais de douleur et je demandai sans cesse la péridurale. Mon conjoint essayait du mieux qu il pouvait de me soulager mais démuni lui aussi face a ma douleur.... Pendant plusieurs moments on nous a laissé tous les deux car je cité: "le papa vous aide bien dans le travail du coup nous sommes a côté" Heureusement qu il était là car il m a aide a poussé et j avais des contractions toutes les 3min et je poussais 3fois a chaque fois... J avais tellement peur... Et la!!!! La sage femme qui me dit désolé mais le travail avance trop vite on aura pas me temps de faire la péridurale on va vous installer et on va y arriver... Mon monde s ecroule totalement je me mets a pleurer je suis déjà épuisée ... Je sens que je ne vais pas y arriver que je suis bloquée ... Au moment où je suis installée en position accouchement l anesthésiste qui arrive mais on me refuse tout de même la péridurale car je suis dilatée plus qu a 8 et que le bébé descend... Alors avec le soutien de mon conjoint et avec les sages femmes j essaie de pousser mais rien n'y fait il ne descend pas plus pendant bien plus de deux heures elles me font poussé mais je n y arrive pas... Les contractions me font terriblement mal je n' arrive pas a reprendre mon souffle tellement que c est intense... Je souffre réellement... Mon corps en peu plus... Et la ma situation en rien ne s arrange on me dit le gynécologue arrive on va devoir faire avec les forceps car vous poussez bien mais maintenant bébé commence a fatiguer et vous aussi... Le gynécologue arrive pas délicat du tout m'insére les forceps et la douleur est encore plus immense et comprend que je n ai pas de péridurale et demande a la safz femme qui était avec lui pourquoi je ne l ai pas eu... Elle ne répond pas directement et baisse les yeux... Lui ne.comprend pas et lui dit c est son premier vous avez eu le temps de lui poser depuis tout ce temps... Bref passons.. La il me demande de pousser mais j' ai tellement mal et je suis tellement fatiguée que je ne fais plus comme il faut, il hausse le ton mais rien n y fait et la d un coup je ne sais pas ce qu il se passe tout le monde s affole... J ai une sage femme qui monte sur la table ou je me trouve m appuie sur le ventre, deux autres sages femmes qui m écartent les cuisses car mon réflexe etait de soucis à refermer et lui qui me dit allez va falloir pousser... A ce moment la je regarde mon conjoint et je lui dis en pleurant je vais mourir sur cette table je ne peux plus je ne peux plus je ne suis capable de plus rien... Je pousse juste une fois mais je ne peux plus... Je vois juste cette dernière scène cette femme qui m appuie sur le ventre les filles qui m ecat les cuisses et lui qui tire sur les forceps pour le sortir et la je me sens partir a cause de la douleur... Je sens tout passer, j hurle je pleure je n en vois plus la fin... Et la on me pose mon bébé mais je ne le capte pas car j ai mal je suis épuisée j ai du mal a respirer puis d'un coup on me le retire et je me rend compte qu il ne pleure pas... Je panique je demande pourquoi il ne pleure pas on ne me répond pas... J ai su après qu il avait le cordon autour du cou et qu ils ont du même l intuber... Et la j entend son premier cri enfin pleure plutôt... La je me dis toi est fini... Mais non!!! Ce n est que le début d une longue descente aux enfers... Le gynécologue qui me dit maintenant je vais allé chercher le placenta.. euh comment ça? Je n ai pas deux heures pour l évacuer toute seule... On ne me répond pas il me dit juste je vais le chercher... Comme si je n étais au bout de la douleur on continue de me traumatiser car chercher le placenta c'est horrible comme ça fait mal... Ensuite il me dit j ai du faire une épisiotomie je vais vous recoudre...c est sur j ai donné la vie mais la mienne va s arrêter la aujourd'hui si ça continue comme ça... Par chance il m anesthési localement wouaaaa au moins ça... Apres qu il est eu fini il me regarde il me dit vous pouvez être fière de vous car vous venez de vivre le pire accouchement que l'on peut vivre mais ca se passe très rarement comme cela... Je m effondre de larme car j' ai mal je me sens ouverte je me sens vide traumatisée... Et il me dit on ne vit jamais le même accouchement si ça peut vous rassurer.... Mais non rien ne me rassure l envie d un deuxième enfant est partie je n en veux plus j ai mal pas physiquement mais psychologiquement aussi... Bref il s en va... Quelques temps après la chef sage femme qui arrive qui me dit je vais vous appuyer sur le ventre pour faire sortir le sang qu il y a ppour pas que vous fassiez d hémorragie allez on continue dans la torture et la douleur je luis signalé que j ai mal quand elle appuie mais rien n y fait elle n a pas me choix me dit elle ... Je sens plein de chose couler sûrement le sang je souffre encore et encore... Et pour finir elle m enleve les compresses que le gynécologue a sûrement pose pour me recoudre ou je ne sais pas d ou elles sortent non pourquoi elles sont là d ailleurs bref... Ensuite on me ramène en chambre je suis épuisée sur la route on me félicite de mon accouchement ... Je profite de mon bébé ça y est et de mon conjoint je ne réalise pas tout dessuite mais de l avoir dans mes bras me soulage et me fait énormément de bien... Bébé était annonce pour 3.2kg et est arrivé a la naissance a 4.3kg une erreur de poid enorme quand même... Je reste à l hopital 4nuits et la on découvre que ma tension est hyper élève je suis a plus de 19 , que j ai des protéines dans les urines.... Mon cauchemar ne s arrêtera jamais...je pleure et je pleure car le 4ieme jour on ne veut pas me laisser sortir a cause de ma tension et on me dit je fais de pre éclampsie ? ça ne se fini pas !!!! Je demande a voir la cadre et je lui dis que je ne suis pas bien que je veux rentrer chez moi je veux retrouver mon conjoint ici ça n est trop ma sgae femme libérale viendra me voir des infirmières aussi je me fais suivre a l maison et elle accepte ... En rentrant je trouve qu en bas une odeur horrible se dégage je vais a la pharmacie elle me donne un produit mais rien y fait l odeur est horrible je commence même a avoir mal très mal... Et le jeudi de ma semaine de sortie ma sage femme qui vient a la maison faire un contrôle et me demande si je vais bien je lui dis que non que j ai mal que ça sent mauvais et que j ai mal au ventre... Et la elle me dit je vais t osculter car des fois ils oublient des compresses... La je m effondre je le sens depuis le début qu il y a que choses qui ne va pas... Et en effet c était bien ca en m oscultant elle me dit en effet c est ca... Je lui dis va falloir que je retourne a l hôpital elle me dit non je vais devoir te les enlever la maintenant... Oh non!!!! J ai eu tellement mal de l accouchement, même une semaine après je ne m en suis pas toujours remise que je refuse qu on me touche en bas mais je n ai pas le choix... Elle va les chercher et ce n' est pas une compresse mais un tas un compresse qu ils m ont laissé... Je ne vous dis pas le choc... Un mois vient de passer depuis mon accouchement je ne me suis toujours pas remise de tout ça... Dès que j' en parle je pleure et on a décidé avec mon conjoint de porter plainte ... Désolé pour la longueur mais si des filles ont été dans ce cas la dite le moi svp

23 commentaires
T
Tatiana Mendy ?
Mon dieu..... t’as eu bcq de courage.....
13 juil. 2020

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|
| JULIE —
Quel horreur d’être aussi immonde envers les femmes qui accouchent... ça a du être très difficile c’est sûr et vous avez eu du courage ! Consulter peut être un spécialiste pour vous aider psychologiquement histoire de remonter la pente.... bonne idée de porter plainte
13 juil. 2020

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M
Mey
Mon dieu c’est horrible ce qu’ils t ont fait subir ma mère a eu un peu la même chose pour mon frère, 27 ans après elle est encore traumatisée par le fait que la sage lui ai appuyé sur le ventre
13 juil. 2020

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L
Lilou 💙 Maël 💙
22 sept. 2019

Voici le récit de mon accouchement : - Mardi apres midi, des contractions apparaissent régulièrement dans la journée plutôt gérables.. - Mercredi soir .. sale nuit contraction toutes les 7mn impossible de dormir, elles sont douloureuses.. - Jeudi matin contrôle à la mater.. rien pas de vrai travail mais col ouvert à presque 2 .. Ça avance et moi je souffre ... Nous rentrons, impossible de me reposer, la journée fût longue, les contractions n'était plus soutenable.. - Jeudi soir nous retournons à la maternité, en plein désespoir et souffrance, j'étais KO. Verdict.. rien n'a changer ..mais je fais beaucoup de tension, la SF décide de me garder et de me mettre sous perfusion de dérivé de morphine pour que je puisse dormir ... Nuit de jeudi, catastrophique.. la perf soulage sans trop .. - Vendredi 20.09 à 2h du mat ... PAFFF poches des eaux rompues ! La SF vérifie elle m'a dit on a encore le temps .. 04h du mat, dilaté à 3 Je monte on salle est la commande de péridurale est faite HOURRAAA je vais pourvoir enfin souffler ! 06h péridurale posé, je revis ! Mon bassin est étroit .. le risque de césarienne est présent ...je commence à paniquer .. La dilatation fut longue, Vers 11h45, commence à pousser, Poussée durant 10/15mn, très difficile, j'étais à bout de force.. tension haute.. Bébé à eu une baisse cardiaque du coup la SF à préférer faire une petite episio pour m'aider ! Finalement accouchement naturelle ❤ Notre beau MAËL est arrivé à 12h02, en forme et maman vider de toute énergie.. Accouchement dur et intense mais bébé en pleine santé ! Que du bonheur ? Je t'aime mon petit bébé ! Née le 20.09 à 12h02 pèse 2.780kg et mesure 49.5 cm. Accouché à 39SA + 5 Mon chéri à était génial et présent du début à la fin ! Heureusement qu'il était là ! Un papa parfait ?

3 commentaires
A
Alison ??
Félicitations ! J’ai appelé mon fils Maël également ? il est né le 12 septembre, je te souhaite que du bonheur avec ton petit bout ?
22 sept. 2019

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L
Lilou 💙 Maël 💙
c'est trop beau se prénom ??? Merci à toi aussi ??
23 sept. 2019

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🎶
🎶HaKoUnA mAtAta
Félicitations
24 sept. 2019

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✨???? ✨
9 juil. 2019

Rdv gynécologue passé. Mes malaises / baisses de tension sont dus à une fatigue et un fort stress... et honnêtement je penses que WeMoms y est un peu pour quelque chose vu les quelques récits d’accouchement qui sont décrits etc en ce moment ici... pour un premier bébé c’est l’inconnu total, et c’est sur que c’est pas toujours rassurant de lire tout ce qu’on peut lire, même si chaque accouchement est différent, les risques dépendent de chacune et c’est pas toujours à cœur joie qu’on finit de lire vos récits... Du coup je penses prendre un peu mes distances sur l’application pour la semaine qui me reste ? ma DPA est le 14 juillet et la maternité me fait rentrer le 13 au soir (car jour férié) et j’aurais bébé entre 3 et 7 jours maximum si Dieu le veut ? j’ai demandé d’essayer toutes les méthodes les plus naturelles possibles pour le faire venir à terme, avant d’essayer les déclenchements et tout ça et ils ont acceptés ! Je sors un peu rassurée et je vous le dis les filles, impatientes ou stressées, parler à vos médecins sans tabou, dites leur toutes vos peurs, appréhensions etc.. ils savent rassurer et entendre ça de la bouche de professionnel ça fait du bien. Arrêtons de nous stresser mutuellement ou de compter « il reste qui ici » « qui n’a toujours pas accoucher » etc. Nos bébés sont rentrés et ils sortiront tous, peu importe la date et l’heure, aucune d’entre nous ne dépassera 42sa donc patientons, et ne laissons plus notre curiosité nous faire lire les récits d’accouchement cauchemardesques qu’on peut lire sur le groupe ?...

7 commentaires
J
Jodie
Tu as tout a fait raison, reste positive et je te souhaite une belle rencontre avec bébé
9 juil. 2019

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B
Bébé Juillet 2019, L
Je suis d accord les récits d accouchement ici font très très peur !
9 juil. 2019

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L
Lucie
(Je suis partie pour dépassé 42sa... on m'a promis aujourd hui que je l'aurai max pour 42sa+4 mais aucune garantie pour avant...) Mais effectivement chaque corps est différent et chaque accouchement est différent, il ne faut pas que tu lises ce qui te stresse.
9 juil. 2019

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S
Sandra
10 mar. 2019

Voilà Elya a 2jours je vous raconte mon accouchement Si jamais vous n êtes pas sereine sur l accouchement ne lisez pas mon expérience Alors le 8/03 j avais rdv à la mat car j+2 . Je fais le mojito tous nickel elle m examine col a 2 1/2 favorable. Vu que j habite loin je demande si je peu être déclencher. Elle me dit j appel la gyneco mais normalement pas de problème .donc j ai l approbation j étais super contente .J appel mon conjoin qui étais au travail pour qu' il vienne . Vers 12h pose de la perf pour le travail Je voulais accouché naturellement sans péri mais si besoin je n étais pas fermé . La sf m explique que avec le col que j ai ca sera un accouchement rapide Dame super sympa marrante tout pour mettre en confiance Vers 14h percé de la.poche des eaux euh les chutes du niagara ils veulent dire Mdr Vers 17h la sf vien faire le point je dormais j'étais à 5/6 .elle me dit c est pas normal vous devriez "souffrir" avec humour . La je me dit ca sent pas bon En plus bébé a la tête vers le haut donc on fais plusieurs position pour qu'elle se retourne mais quand je me remet sur le dos re vers le haut ..zut..... Je gère toujours les contraction La la gyneco vien et me dit qu' il y a une membrane qui empêche le travail de se faire correctement. Elle me manipule pour la percée...j'ai pas aimé la blague La sf dit a la gygy que je veut accouché sans péri...(son visage se fige) alors je lui dit si ya besoin posé la si c est mieu pour des raison médical.mais si ça bouge pas faudra songer a la cesa.La c est moi qui me décompose. Donc pose de la péri Et la ca commence à dégénérer. J ai fais une baisse de tension a 7 .nauséeuse congeler tremblante. .La mon conjoin flippe de ouff il appel la sf elle me tourne c est la position sur le dos et la péri qui me fond ca .il dois être 20h je suis déconnecté de la réalité. La on me dit on s instal. Il est 20h45 .Je dit à chéri que a 21h15 sa fille serai parmis nous pour le rassurer car il se sent démuni de cette situation. .La je sent que ca pousse en bas ...jr me dit bon signe mais ac le péri je ne devrai pas sentir aussi bien On fais des pousser pour la faire descendre car elle n est tjr pas dans le bassin. Sauf qu' une fois engagé c est comme si je n avais pas de péri .ma gyneco sf me dit on met la ventouse.jr suis épuisé à bout de force avec 9de tension .jr pleur de fatigue et tout le trin trin .une fois la ventouse mise on pousse .jr tien la main de la sf (qui n est plus la même car elle a fini ) elle dois me haïr .et je sert le matelas (heureusement que c étais pas la main de cheri) .-et la je sent la tête sortir j ai poussé un cris de délivrance puis les épaules et ma gygy me dit elle est la prennez la .jr ne réalise pas j ai les yeux fermé en larme car la.pression lâche. Je reste quelque sec dans ma bulle a tenir ma fille la touché mais je n ouvre pas les yeux ils sont comme bloqué. Il ni à qu' au moment au chéri coupe le cordon que je réalise que c est fini et la je reprend le contrôle et je rassure mon chéri que tous va bien .mais je le vois il est en mode automatique aussi car il a eu très peur mais heureux ...trop de chose d un coup Donc elle est née à 21h05 a 10min prêt j avais raison ...

5 commentaires
C
Camille
Félicitations ?
10 mar. 2019

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S
Sandra
merci quand on voi notre merveille on "oubli"par ou on est passé
10 mar. 2019

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❤?Kizlarim Hayatim ?❤
Félicitation et bravo a toi tu tes bien battue !!! Bienvenue a ta princesse ???
10 mar. 2019

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🌷
🌷Elodie
21 jan. 2019

Pour mon 2eme je rêvais d’un accouchement le plus naturel possible sans péridurale. Mon projet étant de tenir au maximum les contractions à la maison pour arriver et expulser mon petit squatteur et surtout éviter l’épisiotomie qui m’avait value 1 mois d’atroces souffrances à mon premier accouchement Nous sommes lundi 24 septembre, 9h30 nous allons avec chéri à la maternité pour un contrôle de routine car à j-4 de mon terme et toujours 0 signes du moindre travail . Monito = ok , gyneco = echo= problème. « Madame vous n’avez vraiment plus beaucoup de liquide amniotique je vous propose le déclenchement » La pour le coup me voila très déçu . Je devrais non seulement rester à la clinique mais aussi, je sais d’après mon premier accouchement que si déclenchement, les contractions sont tellement douloureuses et c’est tellement long ( 24 h de travail pour mon premier ) que l’accouchement sans péridurale risque d’être compliqué. Je tente donc une négociation avec mon gyneco qui connait mon projet: « ?‍♀️ : euh j’aimerai que les contractions se produisent naturellement, est ce possible d’attendre la date du terme » : je peux vous laisser tranquillement 24h voir 48h grand max . C’est vous qui voyez. ?‍♀️: ça ne risque rien ? : il peut ne rien se passer et que le travail se déclenche mais même si à l’instant bébé est en pleine forme , il se peut que ce soir ça ne sois plus le cas. On attend ou non ? ?‍♀️ vous me conseillez quoi ? C’est vous le gyneco j’ai confiance en vous , vous me conseillez de faire quoi ? : si ça avait été mon enfant je déclencherais car on est sur de rien. En plus c’est moi de garde cette nuit ?‍♀️: ok on déclenche Je négocie ( encore) avec lui de ne pas me déclencher de suite , que je puisse repasser à la maison pour dire au revoir à mon fils de 2 ans Aeliano. Il accepte bien sur et me dis de revenir en début d’aprem. On passe donc au mac drive pour récupérer de quoi partager un bon repas bien gras. J’ai un peu l’impression de prendre le dernier repas du condamné car je sais ce qui m’attend l’aprem. 14h30 retour à la maternité. ( valise ok , boite à grand frère donné ) nous sommes prêts. A nous 2 petit squatteur ! 15h30 : pose du tampon de propess, monito de 30 min ok . Je commence à marcher pour aider à déclencher le travail 20h30 : marre de marcher on va en chambre regarder la télé on fait des photos, on rigole , toujours très peu de contractions je désespère. 22h30 : les contractions sont très douloureuses, je commence a les noter, chéri s’endort. Les contractions sont présentes toutes les 2 mins . 00h30 j’ai vraiment très mal je réveil chéri. Il se permet d’être ronchon en me disant qu’il ne peut jamais dormir . Non mais ALLO excuse moi d’accoucher On descend voir les sages femmes. Je suis à 4 , la sage femme me dit c’est bon j’appelle l’anesthésiste pour la péridurale. Je serre les dents «  je veux essayer sans » Me voila donc sur un ballon , la sage femme tente de me faire écouter une séance d’hypnose 2h30 :j’en ai marre du ballon , je souffre beaucoup , les contractions sont violentes mais je décide d’aller prendre l’air sur le parking . Je me lève , je suis toutes les 2min pendu au coup de mon mari en criant comme un mouton qu’on égorge ( je n’ai jamais égorgé de mouton mais j’imagine ) . Je n’ai plus de repis , je dois mettre 30 bonnes minutes pour faire 50m. J’arrive en bas et la tout est éteins, le vigile dort profondément, je ne peux donc pas sortir . Même mes hurlements ne le réveil pas . Je dis à chéri entre 2 contractions que l’on va remonter et que je pense demander la péridurale 4h : je leur dis que je n’en peux plus , j’ai tellement mal , je n’arrive plus a prendre que moi . Que durant les 2 min de repis je ne profite pas , j’appréhende seulement l’arrivée de la prochaine contraction , je pleure je veux la péridurale. Elle me propose de me soulager avec un bain chaud ( je ne résiste pas à l’appel du bain , elle me redonne espoir) 5h: je vais finir par me noyer , je suis a bout , je hurle , j’ai tellement mal , je pense mourrir , je finis par me demander si je vais survivre à mon accouchement. Je sors de la baignoire. Elle m’examine je suis à 7 Il me faut la péridurale. Elle prends son temps commence a tout préparer , me préviens que par contre les anesthésistes n’aime pas piquer quand le travail est aussi avancé , qu’elle va se faire disputer de ne pas avoir appelé avant . Moi je suis l’exorcisme, ma tête pourrait faire un 360 degrés . Je lui jure que je ne bougerai pas mais que $de $( oui la je jure) il faut qu’elle se dépêche de l’appeler car je ne tiendrai pas le temps qu’il arrive .Elle me met sous gaz hilarant, du protoxyde d’azote, ca ne me soulage pas du tout ( pour faire passer une piqûre oui c’est fun mais clairement inutile pour soulager des douleurs d’accouchement). 6h15 : arrive l’anesthésiste , comme promis je ne bouge pas entre 2 contractions 6h30 : il pique 6h36 : enfin la douleur des contractions devient vivable 6h37 : tête qui tourne , baisse de tension 6h40 le malaise est passé je suis enfin entièrement soulagé ,je reviens dans le monde réel après ce cauchemar de plus de 6h 6h45 : je m’endors 7h40: je me réveil, les douleurs sont inimaginables, j’ai l’impression que mes organes dont ma vessie sont en train d’exploser. J’appuie sur le bouton rouge Il se passe quoi ? Elle tente de me sonder 8h : débarque mon gyneco ( tiens t’es la toi , je ne serais pas en train de mourrir que je t’égorgerais bien la de suite ) Il m’explique : «  madame on a plus aucun moyen de vous soulager , la péridurale à cessée de faire effet car votre col s’est dilaté trop vite donc le signal de la douleur arrive a votre cerveau avant que la péridurale envoie le contre signal, le seul moyen de ne plus avoir mal maintenant c’est de le sortir » il va falloir pousser 8h15 : le coeur de bébé bradycardise , je vois les sages femmes commencer a se regarder d’un air inquiet entre elles . Mon gyneco : «  madame ca devient urgent de le sortir sinon je vais devoir vous aider » Il se prend le regard le plus noir qu’il existe genre tu approches un instrument ou le moindre ciseaux de ma chatounette je t’étrangles Coeur de bébé ralenti encore Je pousse encore de toutes mes forces, bébé avance . La tête sort enfin mais les épaules sont bloquées. Mardi 25 septembre à 8h33: naissance de Lyenzo , 49,5 cm , 3,240 kg. Les sages femmes : «  ne vous inquiétez pas c’est votre sang pas le sien » je tourne la tête vers mon gyneco : «  bougre il a coupé sans même que je m’en aperçoive . Bon au final : mon fils est un très beau bébé ( l’avis d’une maman est toujours objectif ?), en bonne santé. Le fait d’avoir eu très peu de péridurale fait que 2h après j’étais debout et je pouvais prendre ma douche . Mon episio est grosse mais il a très bien coupé et très bien recousu donc douloureuse seulement 5 jours . Ca se termine bien mais rien ne s’est passé comme je l’avais espéré et je ne souhaite à personne de subir une tel douleur. Je suis resté longtemps choqué.

8 commentaires
P
Pikatchuuuu👶👦❤️
Bon alors je t'avoue qu'en te lisant par moment tu m'a fait rire DSL ? Après je n'ose imaginé la douleurs que cela a dut être.. C'est donc tout à fait compréhensif que cela t'ai marqué même si pour ton bébé tout allait bien au final
21 jan. 2019

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🌷
🌷Elodie
oui la fin est heureuse et je suis fier de moi d’avoir tenue jusqu’à 7 sans la péridurale. Mon chéri aussi est resté choqué un bout de temps . Surtout qu’ils n’ont rien caché , il a tout vu. Et moi je pense avoir tuer dans ma tête une bonne partie de l’humanité ?
21 jan. 2019

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L
Line 💙
Je ne sais pas comment tu as fais pour tenir autant sans péridurale , franchement chapeau ! Ton récit m’impressionne ! J’ai été aussi déclenchée et j’ai eu mal mais sans plus et dans ma tête j’étais à fond pour la péri lol donc ils me l’ont mis j’étais à 4 je crois
21 jan. 2019

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E
Eolia. ???
15 jan. 2019

Récit d'accouchement ⚠️ c'est long, très long.. Pour rappel de ce qui avais pas suivie; J+1 terme :tout ok ✔ col pas tout a fait à 1. Pas de contraction. J+3 terme :tout ok✔ col a 2 en externe mais toujours fermée en interne demande de déclenchement le lendemain, "Non non elle va peut être ce décider. " Du coup sa nous amène à j+5. Ont avais rendez vous à 8 h.. Ont est parti de la maison avec une ambiance assez bizarre, ont savais que ont partais vers un truc immense..^^. Ont arrive à la mat, contrôle du col, monito pour bébé. Tout allais bien, col pas modifier. La surprise ont nous dit "bon est ce que sa vous dis au lieu de faire le travail dans salle de travail vous voulez pas le faire dans votre chambre ? " Ah bah si. Donc du coup elle nous emmène dans ma chambre me dit de faire ce qu'on a faire. (Chercher les valises prendre la télé et une douche) et de lappeller. Bon elle viens et elle me pose le fameux tampon. Vers 10h30. Petit à petit sa fait effet des petites contraction ou je tenais absolument pas en place.. toute les 5 minutes. Fallais que je bouge.. Autant vous dire l'état du monito que j'ai du faire pour vérifier que bébé supportait. Ont aurais dit du grabouillage ? Elle viens à midi me dit quelle va regarder et qu'elle reviens à 15h30. Elle pars et dun coup je me prend des contractions toute les 2/3 minutes très régulière.. bien douloureuse dans le genre déjà. Je la rappel 1 heure avant. Elle me.propose un bain que j'accepte (c'est vraiment la vie le bain). Sauf qu'elle le mets à fond avec le chauffage de la salle nature à fond aussi... Autant vous dire que je me suis vite retrouver mal... (ils voulaient peut être nous cuire hein ^^). Je sentais plus du tout les contractions dans le bain javais l'impression de même plus en avoir. Je sors et la elle reprenne de plus belle mais que toute les 10 minutes.. Ont re examine rien avais bouger. Elle me dis donc que ont attend de voir in peu si sa bouge encore ou pas elle l'enlève le tampon voir si sa se relance tout seule, et que si sa relance ont continué sur la lancer sinon elle me laisse "dormir " tranquille et quont verra demain.. forcément sa avais bouger un peu mais pas assez pour lancer une perf. Je me retrouve à passer la nuit entre les monitos et les contractions... espérant que sa bouge... Lendemain matin, ouvert à 2 de partout col raccourci.. Elle viens me voir me dit bon bah c'est bon ont vous perf. Moi trop contente je prépare toute mes affaires. Elle reviens et me dit "Ah bah non votre col est encore trop long ont vous remet un tampon". Bon ok, elle me refou son truc, et je reprend des contraction un peu plus supportable. Ont se mets à jouer au Uno avec mon chéri, elle s'intensifie ont se dit ok c'est bon signe.. re bain (chauffage éteins ce coup ci ?). Contrôle monito, toute les 3 minutes je tiens un peu dehors, fin de soirée ont examiné sa avait pas bouger ou très peu. (Enfin pas assez dans tout les cas ?) Re bain pendant 2/3 h. Avec des contractions toute les 3 minutes mais qui tombe dans les reins.. et la même leau soulager plus les contractions... j'ai eu un mal de chien !! (Ps:jai jamais ressenti mes contraction dans le haut du ventre. Toujours très bas Genre ceinture trop serrer dans le bas du ventre. ) ont examiné 1 heure plus tard RIEN avais bouger.. la sage femme me propose une perf avec un dérives de morphine. Le truc jai cru que j'avais trop bu mais bordel de mer** qu'est ce que sa ma fait du bien. J'ai même dormi !! Je les sentais presque plus sa a beaucoup amuser mon chéri de comparer ma reaction(ou non) au chiffre du put*** de monito. (Je le supporte plus ce truc.. ?) A minuit 1 heures (le vendredi pour vous situer hein ?) sa faisait plus effet... Elle me mets un autre truc pouvant pas me remette celui la. Qui fait effet 1h30 en étant généreuse... j'avais des contractions toute les 5 minutes. Quand le produit a plus fait effet je la rappel elle m3 demande 1 heure de monito avant de m'examiner chose qui avais pas été fait depuis 22h la veille. Et bah elle a été très longue cette heure... Elle m'examine et LA. Miracle ! Ouverte à 4. Ont passé en salle d'accouchement. Elle peut me poser une peri. Autant vous dire que à ce moment là mon envie d'accoucher sans peri de façon "naturelle" était BIEN loin ? et que en plus je risquais de devoir être perfuser avec des hormones de contractions. (Qui font un mal de chien encore plus.. ). Donc elle me pose la peri. (Franchement tranquille si sa vous fait peur. Er pourtant javais bébé qui faisais que de bouger dans mon ventre..^^. ) Sa a fait effet assez vite. Si bien que je me suis endormi bien 30/45 minutes. (Sa a permis à mon chéri de dormir aussi un peu même si lui la nuit il dormais bien plus que moi ) et de la ont laissé le travail faire. Les contractions ont ralenti alors perf d'ocytocines comme prévu. A 30 puis 45 puis 60. Mon col bougeait. Bébé aussi.. Elle était infernal la dedans ^^ ont baissé a 45 car les contractions était trop rapprocher et sa servait à rien. Toute les 2 heure je perdais des cm.. Elle decide à 6 cm soit 2 heures après le début du travail à peut prêt de me percer la poche des eaux... 3 fois pour quelle y arrive car cetair que pendant la contraction que bébé appuyait suffisamment.. (sensation d'etre un robinet ont aimé hein ?). Fin bref les heures passe. Ont viens me voir en me disant que par contre bébé avais fait les selles dans le liquide que jetait a dilatation complète et que si elle s'engageait pas dans le bassin ont ferais une césarienne pour sa sécurité.. au final il me re examine 1 heure après jetais que à 8 ? l'interne c'était planter..? et que la fallais VRAIMENT que bébé s'engage quand même quoi... le docteur était en césarienne ont me dis quil attend quil sorte pour en parler.. Ont à du attendre bien 2 heures pour qu'on nous dise que sa bouge pas et qu'on va en cesa.. j'ai fait hurler le monito à ce moment là.. grosse crise d'angoisse. Coeur à 170 tension qui explose fin elle sont revenue très vite ? je leur est dit que clairement moi tout de suite il me fallais une lanhestesie général parce que jen pouvais plus. Et que le contexte de pas être endormie de les entendre er davoir 6/7 personnes autour psychologiquement c'était hors de question. En plus le truc c'est que je me suis dit que j'all1is pouvoir tour imaginer à les entendre parler et tout.. beurk quoi.. Ont rentre en négociation avec l'anhestesiste qui était absolument pas d'accord forcément.. Ont trouvé un compromis. Ont essaie en non général et si ya le moindre truc que je me sens encore moins bien il endors total... (sachant que mon chéri ne venais pas avec moi... pour lui c'était impossible mentalement et je pouvais pas le forcer fallais que sa reste un bon souvenir pour lui aussi. ) Je devais être bien paniquer ou alors il en avais marre de moi,car il a dut me mettre une double dose de produit. Et avec la fatigue accumule ect sont produit ma fait du bien contrairement à ce qu'ont aurais pu penser. Je me suis détendue.. (javais soif!! ?) jetais dans les vappes complet. J'ai quand même eu la force de leur dire se faire er d'arrêter de m'expliquer ce qu'il faisais parce que c'était dégoûtant et que mon état végétatif m'allais parfaitement.. Ils font leur bazar, et la j'entend "et bah dis donc ! Ce st pas un petit bebe hein ". Oui aller cest bon estimer à 3,5 elle doit faire 3,8 quoi.. il me la pose rapidement que ke puisse la voir. Mais jetait frustrée de pas pouvoir la toucher à cause du pouls et su brassard de tension..du coup elle mont dit que c'était bon ont sen fichait et que je pouvais bouger les bras.. ils lont emmener vers papa rapidement fallais l'aspirer un peu quand même.par sécurité avec le liquide meconial. Ils fiche leur bazar à aspirer recoudre ect.. jetait tellement stone que je me suis endormie pendant cette période. Ont memenne en salle de réveil ou bébé et papa arrive Ont me pose un tas de questions que j'ai pas le temps d'assimiler je répond oui. Je comprend que cetait pour le peau a peau. La sage femme porte bébé et dis à papa " bah dis donc elle pèse bien hein " et la papa lui répond "oui 4,392 kg pour 51 cm". Je pensais il cetait gourrer je lai fait répéter quoi. Il mont fait oasser les 2 heures et honnêtement sa a été très dure javais bébé sur moi mais je me suis endormie. (Jetais sous haute surveillance avec papa er les dames hein).. jai pas.profiter du moment tout ce que je voulais cetait qu'on me laisse planer en gros... et puis les 2 heures passe ont me ramène en chambre une dame habille bébé et me la donne bien caler vu que je pouvais à la base plus bouger seule.. ben jai plus dormi la nuit. J'avais mon bébé quoi.. Voilà, je pense qu'après avoir lu tout sa vous comprendrez pourquoi jai déconnecter un peu ^^. Ont à fini par en conclure avec les médecins que si elle sortais delle même et que si elle c'était pas engager c'est parce quelle savais quelle passerais pas quoi.. la nature est bien faite.. Je sais pas comment vous interpréterez les propos. Mais aussi long et douloureux que sa est été, je regrette absolument pas, et je garde pas un mauvais souvenir de mon accouchement. J'ai vécu de belle épreuve, bai réaliser à quel point mon chéri était un pilier et que sa nous a encore plus rapprocher... Ont gardé tout dans l'histoire même le moins bien. Par ce que le cadeaux à la clé en vaut la peine. Mais sa vous le savez déjà ?

14 commentaires
m
mσm twínѕ вσчѕ αnd 1 gírl
Tu as été courageuse encore félicitations...
15 jan. 2019

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F
Flo? ??‍⚕️??
Tu as été incroyable !! Et tu as failli me faire chialer avec ta phrase de fin ?
15 jan. 2019

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L
Louloute 🐓🐾👅👪 📎
J'ai mis la nuit à tout lire lol !!! Bravo en tout cas !
15 jan. 2019

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F
Fℓσriαne - insta came
7 nov. 2018

Je m'appelle Floriane, j'ai 30 ans. Je suis maman d'une petite Zoë de 10 ans dans 3 mois, née à 40sa, à 2,900kg et 48cm, d'un petit Sacha, né par déclenchement le 10/02/17 à 33sa et 5 jours, à 1,410kg et 40cm suite à une pré-éclampsie et à un RCIU sévère, et d'un petit Charlie, né le 30/08/18 à 40sa et 4 jours, à 3,840kg pour 52cm.  Voici l'histoire de la naissance de Sacha. Le mardi 7 février 2017, je pars pour faire une écho de contrôle (pour la croissance, car petit bébé). Je ne le sais pas encore mais je ne ressortirai pas de l'hôpital, et le jeudi je serais déclenchée... J'avais des signes, et je sentais que je n'irai pas à terme depuis un moment sans savoir trop pourquoi et sans trop vouloir y croire... Et cela a bel et bien été le cas. J'avais déjà eu quelques soucis de tension élevée, mes analyses avait montré à plusieurs reprises que j'avais un taux de protéines trop important, et là, l'échographie dévoilait un bébé qui n'avait pas pris de poids en 10 jours... J'étais en train de faire une pré-éclampsie. Lorsque ma gynécologue m'a annoncé la nécessité de "faire sortir" mon fils de mon ventre (les mots sont choisis volontairement car on ne pense pas à une naissance mais à un sauvetage), le monde s'est écroulé sous ma chaise. J'ai mis quelques minutes à réaliser que c'était sérieux. Ma première réaction a été de dire "mais vous êtes sûre ?"... Puis j'ai tenté de gagner des jours... Elle m'a dit que cela serait soit pour jeudi soit pour vendredi. Évidemment, j'ai dit vendredi... En fait, je n'y croyais pas. Puis les émotions m'ont littéralement submergée et je me suis effondrée. Une véritable panique s'est emparée de moi. J'avais certes eu quelques signes à plusieurs reprises, mais j'étais sereine, je ne me sentais pas malade... Je n'avais pas mesuré la gravité de la situation et j'étais loin d'imaginer que les choses allaient prendre cette tournure... J'avais toujours eu cette intuition que je n'irai pas jusqu'en avril, mais jamais je ne m'étais dit qu'il était possible que mon lutin puisse naître avant 37 semaines d'aménhorée... C'était donc inattendu, je n'étais pas prête à entendre une telle nouvelle et j'étais sous le choc. On m'avait donné l'estimation d'un bébé d'1,500kg, ce n'était pas possible, il ne pouvait pas sortir, il n'était pas terminé... "Je ne l'avais pas terminé". Tous les éléments de mon projet de naissance se cassaient la figure un à un, comme des dominos. Et puis comment ça allait se passer concrètement, allait-on devoir être séparés ? Changer d'hôpital ? Comment sont les bébés à ce stade ? Peuvent-ils respirer seuls ? S'alimenter ? Digérer ? Bref j'ai eu besoin de tout savoir. Pendant ces 7 mois, j'avais fait des tonnes de recherches sur tout ce qui concernait l'allaitement (d'un bébé à terme), le cododo, le portage, la composition des produits d'hygiène, la pratique de la motricité libre, les méthodes de diversification (DME etc), tout ce qui selon moi allait être la meilleure façon d'offrir le monde à mon enfant... Mais sur le sujet de la prématurité je ne savais rien. Je n'avais pas pu me préparer et j'étais aussi démunie qu'impuissante. Puis, est arrivée la culpabilité. Était-ce de ma faute ? Et si j'avais mangé moins salé ? Et si j'avais bu plus d'eau ? Pourtant je m'étais reposée (bien plus que pour mes deux autres grossesses)... Je n'avais pas su lui donner le meilleur que moi. Mais pourtant je l'aimais tellement cet enfant, cela aurait dû se passer autrement, on était tellement bien comme ça, pourquoi fallait-il que ça s'arrête ? Il devait y avoir une raison... En bref, je me sentais comme un incubateur défaillant. Comme si je n'avais pas aimé suffisamment mon enfant. Comme si c'était ce que mon corps avait voulu me faire comprendre. J'ai eu deux jours pour penser à tout ça. Deux jours pour digérer la chose, pour en parler à mon fils, pour lui présenter mes excuses mille et mille fois... Deux jours pour pleurer en comptant les derniers mouvements de mon bébé à l'intérieur de mon ventre, qui d'ailleurs à mon grand désespoir, du fait de l'injection des corticoïdes, était bien moins actif que d'ordinaire. Deux jours pour m'informer et me faire une idée de la suite. Pour lui, et également pour nous deux. J'ai assez rapidement décidé de retrouver mon calme et d'utiliser toute mon énergie pour apprendre. Il n'avait pas besoin de ressentir toutes ces émotions négatives. Il avait besoin d'une maman avertie, qui l'accueille positivement. J'ai donc demandé à voir une consultante en lactation pour savoir ce qui allait être envisageable. J'ai vu une sage-femme car il n'y en avait pas dans ma clinique... Les informations étaient assez basiques et succintes. La conclusion était que le taux de réussite d'un allaitement de prématuré était faible... La plupart des mamans décidaient rapidement de passer au biberon (conseillées ou non par le personnel médical) car la prise de poids et donc la sortie de néonat étaient plus rapides. Mais certaines y arrivaient. C'était donc possible. Je m'accrochais avec ferveur à la certitude que je réussirai. Arrive donc l'étape fatidique du déclenchement. Le lancement des opérations. Les contractions arrivent rapidement après la pose du tampon, et ne sont que le début du processus de cette naissance organisée, tout est supervisé, contrôlé... Il n'y a plus rien de naturel. Je suis une machine organique et mon accouchement ne m'appartient pas. Mon col ne lâche pas prise et cela ne me surprend pas vraiment. J'ai le sentiment que rien en moi n'est prêt. Comment convaincre mon corps qu'il est l'heure et qu'il n'a pas le choix ? Comment lui faire comprendre qu'il est important de céder, de faire ce que l'on attend de lui, afin de ne pas faire souffrir ce tout petit être fragile ? Je veux à tout prix éviter une césarienne... Je l'ai déjà fait, je sais accoucher, et j'y tiens profondément. Je veux au moins faire ça de la façon dont ça aurait dû se produire dans des conditions "normales". Les heures passent et j'essaie d'être détendue autant que possible. Je sais que bébé en a besoin et que ça m'aide. Le fait de savoir que pour le moment mon fils tient le coup malgré la force et l'enchaînement des contractions sur son tout petit corps m'aide beaucoup, je prends progressivement confiance en moi et en lui. Je le sens plus fort que je l'aurais cru. Ça fonctionne. La porte de mon corps s'ouvre et décide de laisser s'engager mon enfant. Je le sens glisser doucement... J'appréhende terriblement de le rencontrer... Au moment de pousser, j'ai une sensation étrange. Je sais qu'il faut que je pousse à fond mais je n'arrive pas à y aller de toutes mes forces. Je visualise malgré moi sa tête qui doit être toute petite, son minuscule nez tout fragile... Et j'ai peur de l'abîmer. (C'est finalement moi qui me serai fait mal, lui n'aura rien senti et son crâne sera indemne.) À 21h15, lorsqu'il sort enfin, la sage-femme le soulève et j'aperçois une forme irrégulière, quinze centimètres carré de mon bébé tout recroquevillé... Ma première pensée a été de me dire qu'il était mort. Ce petit être si minuscule... Il ne pouvait pas vivre. On l'a posé sur moi quinze secondes pendant lesquelles mon cerveau s'est mis en pause... Je ne sais plus ce qui s'est passé, ce que j'ai dit ou pensé. Puis on l'a emporté. C'est seulement au moment où la puéricultrice a fermé la porte de la salle de naissance que j'ai entendu mon fils crier... Et c'est à ce moment là que j'ai retrouvé mes esprits. "c'est mon fils qui hurle comme ça ?" Je n'y croyais pas... Un son si puissant qui sortait d'une si petite chose ? On m'a répondu que cela ne pouvait être que lui car j'étais la seule à accoucher en ce moment dans le service. Il était né. J'étais sa mère. On nous a demandé son prénom... Sacha. On m'a donné son poids, 1410 grammes... D'après leurs observations tout allait bien, il respirait seul mais il allait être mis en couveuse car il était incapable de réguler sa température. Il allait rapidement être transféré dans un autre hôpital, le service de néonatalogie de la clinique dans laquelle nous nous trouvions ne prenant en charge que les bébés d'1,500kg au minimum. Cela signifiait que nous allions devoir être séparés au moins pour cette nuit. Donc pas de tétée de bienvenue et pas de mise au sein, ça je le savais, mais pas de peau à peau, pas de tire lait la première nuit, pas de contact avec mon enfant... J'étais abattue. Je voulais absolument le voir avant qu'il parte, et heureusement, j'en ai eu la possibilité l'espace de 5 minutes. Le papa a suivi notre fils dans le second hôpital, et je suis restée seule. Encore plus impuissante et démunie que je l'étais avant. Une nuit qui allait être sa première nuit, et dont je n'allais d'aucune façon faire partie... Je n'ai presque pas dormi. Le papa m'envoyait des photos de lui en peau à peau avec notre enfant, et cela me faisait infiniment chaud au cœur de voir que notre petit bout recevait de l'amour, de la chaleur, un peu de nous... J'ai préparé mes affaires, refait mes valises qui étaient en vrac depuis mon séjour pré-accouchement, et j'ai attendu. Physiquement c'etait comme si je n'avais pas accouché. Je n'écoutais pas mon corps, sa fatigue et ses douleurs. Tout se jouait à l'intérieur... Mentalement j'étais en ébullition. J'avais complètement changé d'état d'esprit. J'étais maman pour la deuxième fois, et mon fils avait besoin de moi. Je devais être forte. Je devais tout lui donner et être à ses côtés. Je devais être une guerrière. Le lendemain, l'ambulance est arrivée pour me rapatrier auprès de mon fils. J'étais exaspérée de devoir monter sur leur brancard alors que tout allait bien. Les minutes étaient des heures jusqu'à ce moment où j'allais pouvoir le voir, découvrir son état et ce qui lui avait été fait... La première nuit, il n'y aurait pas de place en chambre mère enfant. J'avais donc été installée dans le service gynéco, et je devrais partager ma chambre avec une dame. J'y jetais mes affaires avant de me ruer le plus vite possible au service néonat. Là, après avoir passé un premier sas, après avoir désinfecté mes mains, enfilé une blouse et un masque, puis après avoir franchi une deuxième porte en verre, je trouve mon bébé. Mon tout petit bébé qui nageait dans sa couche minuscule, coiffé de son bonnet de laine jaune et bleu turquoise, et qui partageait sa couveuse avec une adorable petite pieuvre... J'ai immédiatement demandé à faire un peau à peau. Enfin, je ressentais le bonheur de l'avoir contre moi. Je découvrais mon enfant... Mon fils était d'un calme olympien. Il ouvrait les yeux de temps à autre, mais somnolait la plupart du temps. Je l'observais, j'enregistrais les moindre détails... La forme de son nez, le dessin du contour de ses lèvres, les détails de ses microscopiques oreilles et de ses pieds, ses mains, ses phalanges, ses ongles... Bercée par les bruits du service et les bips incessants du matériel médical autour de nous... Nous sommes blottis l'un contre l'autre, et je remarque qu'il ouvre la bouche de temps en temps. Je décide de l'approcher de mon mamelon, et de le laisser faire. Il ouvre alors une bouche qui me semble énorme, proportionnellement à sa taille, et fait sortir son tout petit bout de langue... J'appelle l'auxiliaire et je lui montre. Je suis étonnée et ravie de noter une telle réaction, je n'en demandais pas tant. Elle m'aide à l'installer au sein correctement, jonglant habilement avec les fils, les capteurs et les électrodes qui le relient au scope. Et là, Sacha tétouille. C'est léger, à peine perceptible, mais il est intéressé par la chose. C'est un feu d'artifice qui explose en moi. Désormais, je ne suis plus seulement convaincue, je SAIS qu'on y arrivera, car lui aussi en a envie. Je passais donc ma première nuit à tirer mon lait toutes les trois heures, et à faire des allers-retours entre l'unité de soins intensifs du service de néonatalogie où se trouvait mon fils, et ma chambre, où j'essayais de dormir tant bien que mal, ma colocataire ayant décidé de laisser la lumière allumée toute la nuit... Le lendemain matin, une chambre mère-enfant se libère. Je suis la plus heureuse de l'univers, je vais être dans le même service que mon bébé... Finies les déambulations entre couloirs et ascenseurs. Je prends de nouveau mon paquetage et je monte m'installer. Je me rapprochais peu à peu de lui. Le troisième jour, mon fils sort des soins intensifs et me rejoint, dans cette chambre qui serait la notre pendant plusieurs semaines. On avançait encore d'un pas l'un vers l'autre. Désormais, seule la paroi en plexiglas de sa couveuse nous séparait... Nous respirions "le même oxygène". Je continue de tirer mon lait toutes les trois heures, en notant tout dans un carnet, même si pour l'instant rien ne sort de ma poitrine. Je ne doute pas, je suis patiente, et je ne me plains même pas des téterelles des kits stériles qui ne me sont pas adaptées. Les soignantes se veulent rassurantes et optimistes sans l'être trop. On m'explique un peu tout, le protocole, les soins quotidiens, le fonctionnement du service, la relève, la tournée des pédiatres... Je reçois plein d'informations et j'arrive à peu près à suivre. Mais en fait, à ce moment là, je n'ai qu'une seule chose en tête... Réussir à nourrir mon enfant. C'était ça mon objectif. Sacha, lui, pouvait prendre le temps qu'il voulait pour progresser. Désormais j'étais là, avec lui, sa grande sœur était entre de bonnes mains, sereine et patiente également... Rien ne pressait. Les premiers jours, il est alimenté de lait maternel provenant du lactarium, par sonde nasogastrique. C'est un petit tuyau tout fin, qui part d'un dispositif électrique dans lequel est posé une seringue (APS - Auto-push syringe) et qui va jusqu'à son estomac en passant par son nez. Je suis infiniment reconnaissante de ce trésor qui nous est offert par ces fées nourricières, elles ont mon éternelle gratitude... Mais j'espère malgré tout réussir rapidement à subvenir moi-même aux besoins alimentaires de mon petit lutin. Mes heures sont donc rythmées par le son produit par le tire-lait, et je fais tout pour faire venir la montée de lait... Je tente de me reposer mais je ne lâche pas mon fils, qui est, je le sais, le meilleur galactogène qui puisse exister. Lorsque enfin, au cours de la nuit de J3 à J4, le 14 février à 2h17, j'arrive à extraire 10ml de colostrum, j'explose de joie... Dix millilitres, c'est une dose complète pour mon fils. Je sais que quelques heures plus tard, il serait alimenté grâce à moi. C'est alors fièrement que je colle notre étiquette sur le premier "biberon" (récipient avec un couvercle bleu contenu dans le kit stérile du tire lait) de mon bébé. Jusqu'ici, j'avais déjà réussi à tirer un ou deux millilitres de lait, que nous lui avions glissé entre les lèvres tel une petite gourmandise, mais là, ce "pas grand chose", c'était énorme... Une fois ma production lancée, il allait falloir que Sacha apprenne à téter efficacement. S'enchaînent donc les tétées-pesées angoissantes, additionnées à la douleur d'une très grosse crevasse causée par la téterelle inadaptée mentionnée plus haut... Il y a également une autre ombre au tableau, une jaunisse dont mon fils peine a se débarrasser, et qui le fatigue tellement qu'il ne parvient plus à téter. Mais cela ne me décourage pas, et Sacha viendra finalement à bout de son ictère à quatre jours de vie. On essaye de me convaincre d'utiliser un bout de sein pour ma crevasse. Je m'y refuse... Toutes les auxiliaires et les puéricultrices n'ont pas le même discours, certaines sont mieux formées que d'autres, l'une d'elle est même plutôt calée mais elle n'est pas souvent là. Je m'en moque, je me suis renseignée... Je ne commettrai aucune erreur, et mon allaitement ne serait pas mis à mal (comme cela avait par ailleurs été le cas lors de l'allaitement de ma fille) par d'éventuels mauvais conseils. Petit à petit, l'ensemble du personnel finit par comprendre et accepter que je préfère me débrouiller. Plus les jours passent, plus je suis autonome, et rien ne peut me rendre plus heureuse. J'ai appris à ne plus m'emmêler dans les fils en changeant sa couche, j'ai appris à lire les données du scope, cet écran anxiogène, que je regarde de moins en moins à mesure que le temps passe et que je constate que tout va bien, et duquel je finirai même rapidement par apprendre à couper l'affichage... J'ai appris les gestes qui respectaient au mieux sa physiologie, j'ai appris à traduire comprendre chacune de ses réactions, et j'ai appris à me faire confiance. Je prends progressivement de l'assurance, et je me réapproprie autant que possible mon rôle de maman. À cinq jours de vie, Sacha réussit à prendre dix-huit grammes au sein sur sa dose fixée à vingt millilitres. C'est une victoire époustouflante à mes yeux. C'est un champion, et j'ai la sensation que plus je vais bien, plus lui aussi, et plus il fait des progrès. On forme une belle équipe... Il me comble de bonheur et de fierté. J'ai un moral en béton, mais j'avoue que ma grande me manque... Elle nous rend régulièrement visite tout au long de notre séjour à l'hôpital, accompagnée de mes beaux-parents, et cela me fait un bien fou. Pas le moindre signe de babyblues ici... Juste la niaque et beaucoup d'amour. Un fil à déjà été retiré à mon fils (le KTVO), celui qui passait par son nombril et qui se finissait par une petite boîte rose. La température de la couveuse baisse progressivement. À une semaine de vie, je peux désormais lui faire porter un body taille 00 et cela m'enchante... Cela vient de nous, nous l'avons choisi pour lui, et c'est la première chose matérielle que l'on peut lui offrir. À neuf jours, c'est moi qui prends son premier bain, enveloppé d'un lange. Je saute de partout. À dix jours, mon tout petit passe en berceau chauffant. Il porte un pyjama et il dort sous une couverture. Je n'ose même pas y croire... Si ce n'est sa maigreur et la sonde dans son nez, mon bébé se rapproche en apparence de la normalité, et j'exulte de le regarder dormir dans la douceur de sa layette. Quand ton petit bout pleure après avoir été changé et après avoir mangé. Quand tu peux enfin le prendre dans tes bras, seule, sans avoir à sonner les infirmières, et que tu t'aperçois que c'est exactement de ça dont il avait besoin... Quand tu te sens pleinement maman, et que tu as retrouvé tes droits en même temps que la couveuse a disparu... C'est un bonheur incommensurable qui t'envahit. Désormais, il ne reste plus qu'à attendre que Sacha prenne suffisamment de poids et devienne un pro de la tétée. Dans ce domaine, je suis de nouveau impuissante et tout repose sur lui. Il y a des hauts et des bas, des jours ou même des semaines meilleures que d'autres... Bientôt, on met en place un protocole que l'on appelle Fleur de lait, et qui va servir à observer sa progression au sein en suivant plusieurs étapes. Le rituel des tétées pesées est fatiguant. Il implique de déshabiller complètement Sacha après chaque tétée pour voir combien de lait il a pris au sein, et je commence à en avoir marre de déranger mon pauvre bébé qui préférerait mille fois s'endormir paisiblement dans la chaleur confortable de mes bras... Il y a cette fameuse semaine, qui correspond à la 35ème semaine d'aménhorée lors d'une grossesse, dont on m'avait parlé en me prévenant qu'elle était souvent compliquée et très calme en terme de progrès... Nous avons pu vérifier et surtout confirmer cette théorie. Mon moral avait tenu jusqu'ici, mais lorsqu'il n'y a plus eu que la tétée qui "posait problème", j'ai commencé à m'en vouloir. Je me suis mise à douter et à me demander si je n'étais pas égoïste de m'acharner comme cela sur ce projet d'allaitement qui me tenait à cœur, alors que j'aurais tout aussi bien pu faire du tire-allaitement et lui laisser prendre le biberon qui le fatiguerait moins... Mais je retrouvais mes esprits et je persévérais. La suite serait meilleure au sein, et je ne parvenais pas à la voir autrement que de cette façon. On coupe enfin le chauffage du berceau lorsqu'il a deux semaines et demi. Il porte désormais une turbulette, et on lui a retiré le "cocon", sorte de coussin de grossesse miniature qui servait à le rassurer en lui donnant une position plus ou moins "regroupée". Au bout de trois semaines de vie, on atteint l'étape 4 du protocole Fleur de lait. Celle-ci consistait à passer 16h en donnant le sein à la demande sans tétées-pesées (et forcément sans complétement), et 8h de sein à la demande avec tétées-pesées, où nous devions complémenter si rations prises de façon incomplète. Il allait donc falloir procéder de cette façon pendant deux ou trois jours, peser bébé quotidiennement, et espérer qu'il prenne du poids. Il ne fallait pas qu'il en perde, il devait seulement stagner à son poids de la veille, ou au mieux, en prendre. C'était un peu étrange de ne pas pouvoir contrôler ce qu'il arrivait à téter, cela me faisait un peu peur, mais c'était le jeu, et surtout c'était la suite logique (les tétées-pesées n'auraient plus lieu une fois de retour à la maison). J'essayais d'avoir confiance en lui et en moi... Mais je guettais encore plus que d'ordinaire pour repérer les moindres signes d'éveil pouvant signifier qu'il voulait téter. Chaque jour, son poids augmentait. Je commençais peu à peu à y croire... Rapidement, on finit par passer à l'étape 5 du protocole, où les tétées pesées sont intégralement supprimées. Jusqu'ici tout se passe bien. Entre le 4 et le 5 mars cependant, mauvaise surprise... Sacha ne prend que 8g. La sortie allait donc être reculée, car les médecins estimaient qu'il devait prendre un minimum de 20g par jour, et que ce chiffre n'était pas bon. C'est un tout petit coup dur, mais qui suffit à me faire défaillir... Nous étions si proches du but... Je craque, je perds patience et j'en veux à tout le monde. J'ai l'impression qu'on nous détient prisonniers alors qu'il n'y a pas de raison à cela car tout va bien. Le 6 mars, les médecins donnent néanmoins leur feu vert pour couper le scope. On continue les tétées à la demande, à l'aveugle à 100% cette fois, avec une pesée quotidienne. Sacha arrache une énième fois sa sonde nasogastrique, et je note avec plaisir qu'on ne la lui remet pas. Depuis déjà quelques jours, les puéricultrices ne passent me voir qu'une fois dans la journée pour noter le poids de mon fils, et je ne m'en porte pas plus mal, même si je trouve le temps long. En effet, il n'y a ni télévision ni musique en néonatalogie. La raison est qu'il est préférable d'éviter les sur-stimulations visuelles et auditives qui nuiraient à bébé. Jusqu'ici rien de cela ne m'a manqué, mais mis à part bouquiner et surfer sur mon téléphone, je n'ai rien à faire... Le 7 mars au soir on m'annonce que la sortie est pour le lendemain si la pédiatre donne son accord. Je vis un véritable ascenseur émotionnel. Alors que deux jours auparavant on me parlait d'une sortie encore lointaine, voilà que tout s'enchaîne... Je n'arrive pas à suivre et je n'ose plus me réjouir de peur de me casser les dents une fois encore. Le lendemain allait être la journée la plus longue de tout notre séjour... Le verdict du pédiatre se faisait attendre, et je ressentais cela comme une torture ultime. Par superstition, je n'avais pas osé commencer la préparation de nos valises. À 18h, après une dernière pesée, qui nous annonçait un poids de 2,175kg, nous obtenions notre clé pour la sortie. Je jetais toutes nos affaires en vrac le plus vite possible dans nos sacs et nos valises, je remerciais rapidement mais avec tout mon cœur les membres de l'équipe présents sur les lieux à ce moment là, et nous partions aussi vite que possible, de peur que pour une raison inconnue on ne vienne m'annoncer que l'on changeait d'avis... Sacha dans son cosy. Sacha à l'air libre. Sacha dans notre voiture. Puis enfin, Sacha chez lui, dans son foyer, entouré de sa famille. Et moi dans mon paradis sur terre. Cette aventure a été l'une des plus intenses de ma vie. Et pourtant, je ne regrette rien. Nous avons eu un parcours de guerriers. Nous avons fait preuve de courage et de persévérance. Nous nous sommes battus, et avons réussi. Je suis fière de notre merveilleux allaitement, qui dure encore aujourd'hui à 21 mois, malgré la traversée d'une grossesse comme nouvelle épreuve. Et lui, ce tout petit lutin, il aura remporté fièrement tous les combats, et gravi tous les obstacles haut la main. Il m'a tellement scotchée à quelques heures de vie seulement. Enfin, tout cela, malgré les difficultés rencontrées, nous aura permis de créer ce lien si fort, si particulier, ce lien indescriptible qui nous unit, presque plus encore que le cordon qui nous reliait. Alors, aussi bizarre que cela puisse paraître, je ne regrette pas d'avoir eu la chance de faire la connaissance de mon fils plus tôt. Même si nous sommes passés par toutes les émotions possibles, positives comme négatives, même si ça n'a pas toujours été simple et que nous avons parfois craqué, jamais je ne regretterai de l'avoir finalement rencontré, ce vendredi 10 février au lieu du 3 avril 2017.

34 commentaires
F
Fℓσriαne - insta camera:
Un immense bravo à celles qui auront eu le courage de tout lire !! ? (Et pardon d'avance pour les fautes s'il y en a, et la concordance des temps hasardeuse... Mouahaha... ?).
7 nov. 2018

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?
?? ຕαηᴏη ??‍?‍?‍? Maël & Gabrie...
C'est une très belle histoire, un très beau combat ❤️
7 nov. 2018

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M
Madame K 💍
Je lirais pendant la sieste ?
7 nov. 2018

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Entourée et conseillée tout au long de ma Maternité